Mon constat

L’évolution de notre mode de consommation entraîne avec elle un bouleversement de notre habitat. L’air se densifie, le chant des oiseaux s’efface, la genèse de notre alimentation nous échappe… Il est donc évident de comprendre aujourd’hui que notre rapport à ce qui nous entoure doit également évoluer, mais pas de n’importe quelle manière !

Nous devons désormais nous interroger sur ce que nous produisons, comment nous le produisons et quelles en sont les impacts de cette production. Notre rapport à la terre, à la nature, aux autres doit changer, ou du moins doit retrouver ses sources.

Il est important que les pouvoirs publics prennent des décisions fortes qui doivent s’orienter non pas vers une politique punitive en faisant croire que seules les taxes sont louables, mais doivent oser le réel accompagnement de sa population !

Lutter contre la pollution et le réchauffement climatique, sauvegarder notre biodiversité, consommer et se déplacer autrement, etc. ne doit pas nous orienter vers des prises de décisions utopistes et déraisonnées en vantant les mérites d’une source mineure, et en limogeant une pratique pérenne par exemple.

Depuis plusieurs années maintenant, les termes de « écologie », « énergie verte », « circuits courts » sont en vogues et parfois ne sont que des arguments marketing sans réels fonds.

Certains de nos politiciens pensent à tort que le changement ne pourra bénéficier aux plus grands nombres qu’à coup de taxes en tout genre, soit-disant légitimes puisqu’elles tendent vers un avenir plus pur. C’est une hérésie la plus complète. Ça n’est pas en demandant aux plus modestes de s’endetter qu’ils adhéreront au projet, surtout si ce sont les mêmes politiciens qui leur ont vendu l’inverse il y a quelques décennies de cela à peine.

Je ne m’enorgueillis pas d’avoir toutes les réponses aux maux qui nous rongent, loin de là, mais je demeure persuadé que nous avons chacun une partie de la solution. C’est en travaillant ensemble que nous arriverons donc à gagner ce combat visant un quotidien qui respecte notre terre, ou du moins qui la respecte au mieux puisque l’action humaine en elle-même utilise les ressources naturelles et donc les exploitent.

Ceci est la raison de mon engagement politique, pour donner du sens aux termes « écologie », « agriculture », « nature », « consommation », « énergie » etc., sans tomber dans la démagogie qui ronge actuellement nos élites !

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